Départ J-9

Que le temps passe vite, le nouvel an est déjà bien loin, les cours se terminent et il a neigé aujourd'hui sur Toulouse. Mercredi prochain, un peu avant 10h, je décollerai pour Copenhague, pour débuter mon aventure.

A ce jour, il me reste quelques petits détails à régler, et non des moindre, je dois rendre :

- Le projet de stage
- Le dossier intermédiaire du mémoire de recherche

Pour le mémoire, je vais me pencher sur la question du pluriculturalisme et du plurilinguisme à l'école puisque je serai dans un établissement international, où évidemment, les enfants ont des nationalités différentes et donc, des parfois très singuliers. Car c'est bien l'école qui les rassemble finalement et j'essayerais de voir comment ce système international prend en compte cette diversité, d'abord à moyenne échelle (cibler un cursus MYP/Collège plutôt que les PYP/Primaire) puis à plus petite échelle durant les course de langue. 

Côté voyage, les préparatifs avancent également, le point important sera évidemment la valise, pour être sûre de ne rien oublier... (mais bon comme ma grand-mère dirait : tu vas quand même dans un pays où il y a des magasins, ne t'inquiètes pas!) Alors il faut relativiser !

Le froid arrive à Copenhague

Que dire de ce départ, à la fois, j'ai hâte, mais à la fois, je laisse quand même plein de choses ici, ma famille, mes amis, et j'ai un petit pincement au cœur... Mais je sais bien qu'une fois là-bas, je serais dans un tout autre état d'esprit !

En attendant, c'est un petit déménagement qui se prépare, on fait des cartons, on fait du tri, on redécouvre des choses qu'on avait chez soi, c'est pas si mal dans un sens !

Pour vous dire, j'avais (et j'ai) gardé une phrase d'un de mes brouillons d'épreuve de Master 2 en STAPS, une épreuve écrite sur les dynamiques en faveur de l'écologie aujourd'hui (me semble t-il), et j'avais écris en conclusion :
"En somme, il faut prendre ce qu'il y a à prendre (côté innovation), essayer d'avancer petits pas par petits pas, en favorisant l'échange et le partage entre les Hommes, pour tenter de déconstruire briques par briques l'individualisme ambiant des sociétés modernes, en les réconciliant avec la nature et avec eux-mêmes."

Je vous laisse méditer sur cette question avec ma phrase préférée :
Ce ne sont pas les Hommes qui font des voyages mais les voyages qui font les Hommes..
 Vous avez 4h !